Lors de notre prochain webinar, nous vous invitons à découvrir et échanger sur une manière simple et efficace de développer dans votre entreprise le vivre ensemble, de renforcer l’engagement des collaborateurs, et de faire avancer votre démarche RSE : la sensibilisation participative. Elle s’appuie sur des ressorts tels que la coopération, le pair-à-pair, le partage d’expérience
Au travers [...]
En écoutant ses besoins, nous ressentons la fierté de cette équipe qui est en train de faire de Generali, en un temps record, l’un des leaders de son secteur sur internet. Nous concevons un processus de création collective qui génère des échanges enthousiastes et constructifs, et renforce la transversalité.
Les collaborateurs créent le scénario puis les dialogues d’une bande dessinée racontant la vie de leur division. Le storyboard et les dessins finalisés sont assurés par un dessinateur professionnel de B.D., Olivier Martin.
C’est une des spécialités de Togeth’art. Depuis nos lointaines origines, nous avons proposé à nos clients divers modes artistiques de création collective pour permettre à un groupe de se découvrir sous un jour nouveau et amorcer un virage. Ces actions peuvent être ponctuelles, comme un chant choral lors d’une soirée, échelonnées en plusieurs étapes, comme pour la création de sketchs de type Camera café, voire se répartir sur des périodes plus longues, comme pour la création d’une bande dessinée autobiographique, construite sur plusieurs mois.
Dans tous les cas, réussir à créer ensemble, en ressentir la fierté sont des expériences enrichissantes, parfois transformantes, pour le collectif.
Depuis plusieurs mois, le principe de ces créations collectives se répand dans les écoles de commerce. Il y avait le lipdub de HEC, il y a maintenant le stop motion d’ESCP Europe.
Regardez, c’est astucieux, esthétique, expressif. Une réussite.
J’espère que ces étudiants garderont un peu de cette graine d’artiste et l’art de souder un groupe lorsqu’ils rejoindront leurs futurs employeurs…;-)
Handi-partage, la plateforme de partage d’expérience sur le handicap a été ouverte ce matin. A 9h00 précises.
Si j’insiste sur ce « détail » qu’est l’heure exacte d’ouverture –au jour exact prévu depuis plusieurs mois - , c’est qu’il a son importance dans la dynamique humaine qui s’est créée autour de ce projet.
Environ trente personnes ont collaboré, à un degré ou à un autre au lancement de Handi-partage. Parmi les éléments fédérateurs qui ont permis un bon travail en groupe, la fixation et l’acceptation par tous d’une date butoir ont été importants.
Un projet d’équipe démarre toujours par une première rencontre entre les participants. Trop souvent, les responsables du projet vont droit au but : situation, objectifs, organisation et répartition des tâches, moyens disponibles. Ils pensent ainsi montrer leur détermination et gagner du temps.
Hier, j’étais à la Comédie Française, voir la très agréable pièce La Grande Magie, d’Eduardo de Fillipo, mise en scène par Dan Jemmett. Celui-ci explique comment procède avec ses acteurs.
Le débat national « Qu’est-ce qu’être français ?» nous interpelle, nous autres Togeth’artiens, qui intervenons fréquemment sur ce thème de l’identité dans l’entreprise. Dans le cas de ce débat national, il nous semble qu’il y manque un ingrédient.
Repartons de notre pratique. Lorsqu’une entreprise nous demande de réfléchir à un sujet d’identité, la problématique est toujours de créer un lien dans une équipe, voire dans l’entreprise tout entière.
Le premier réflexe du client est de se tourner vers les valeurs. Une solution bien facile, version moderne du règlement intérieur affiché dans les ateliers. Nous répondons généralement que les valeurs n’engagent que ceux qui les édictent. Et encore, lorsqu’ils s’y conforment eux-mêmes.
Et nous guidons notre client vers des rivages plus concrets. Que font les gens ensemble ? Qu’ont-ils réussi, de quoi sont-ils fiers ? Que rêveraient-ils de faire ?
Une identité collective se détermine entre autres par la trace imprimée par les membres les plus représentatifs de la collectivité. Dans les entreprises, on peut observer combien chacun, dans la chaîne hiérarchique, a tendance à mimer les comportements du leader charismatique.
Aussi bien, il est intéressant d’analyser le phénomène Michael Jackson, figure de proue de notre collectivité humaine. Faisons le compte. M. Jackson a révolutionné la musique ? Soit, un point.
Mais, flambeur, il laisse des dettes considérables. Moins un point. Il a essayé de changer son image, reniant sa couleur de peau. Manque de sagesse élémentaire. Moins un point. Encore un point à enlever pour son comportement manifestement asocial, qui l’a conduit se claquemurer dans son palais. Je n’enlève qu’un point pour ses perversions sexuelles ; si elles étaient prouvées, ce serait plus cher. Des points perdus également pour les conditions de sa production de génie : drogues et médicaments…
Sensible à l’influence des émotions, je ne pouvais manquer la lecture du “premier livre à explorer la dimension émotionnelle de la mondialisation”, autrement dit La géopolitique de l’émotion, de Dominique Moïsi.
Pour l’auteur, soient trois émotions : l’espoir, l’humiliation et la peur, qui se partagent le monde. L’espoir est un fruit d’Asie, l’humiliation vient du monde arabe et la peur germe en Europe et aux Etats-Unis. De ces émotions découleraient de nombreux comportements que l’auteur observe avec perspicacité.
Voici un livre intéressant, qui nécessitera des études plus poussées pour valider les intuitions de son auteur.
Mais, page 150, je trouve ce qui me semble être la clef de voûte de toutes les émotions collectives dont il parle : la fierté.
Le management des projets oscille depuis longtemps entre deux paradigmes. Pour certains -et dans certains domaines, comme l’organisation- c’est une science. Celle-ci dispose d’outils auxquels il faut entraîner le manager de projet. Pour d’autres -et dans d’autres domaines, comme la gestion des hommes-, c’est un art. Le manager de projet mature longuement la maîtrise de son art, et à force d’expérience, trouve son expression personnelle.
Mais il peut y avoir réconciliation. J’étais vendredi dernier à l’inauguration de l’Institut du Management de Projet de Société Générale. J’y étais invité par Alain Lumbroso, la cheville ouvrière de cette création, à qui il faut rendre hommage car la qualité de l’instrument n’égale que la rapidité avec laquelle Alain l’a mis sur pied.
Dans l’Institut du Management de Projet de Société Générale, les compétences techniques et comportementales des managers de projet sont développées en parallèle. Et leurs progrès seront valorisés sous la forme de certifications (PMI ou IPMA : un non-choix qui traduit l’ouverture de la démarche).
Apporter une telle plus-value aux managers de projets ne fait-il pas courir le risque de les voir partir avec leur butin de savoirs. “On prend ce risque répond Séverin Cabannes, DG délégué se Société Générale, car nous créerons un pool de talent et nous disposerons de très grands chefs de projet pour les projets lourds.”
Il faut de tout pour faire un monde dans lequel on se sente bien. Par exemple des papys et mamys, de 80 années bien sonnées, hurlant Yeaaaaahhh ! I feel gooooood … dans un micro.
De quoi faut-il se réjouir dans ce film de Stephan Walker sur une bande d’ados à la peau de papier maché qui interprètent les grands standards du rock ? Que quelqu’un (en l’occurence un maître de chant d’une cinquantaine d’années) ait pensé l’impensable : les vieux sont jeunes. Ils sont vieux … ET jeunes ; vieux … MAIS AUSSI jeunes.